Vide

Que les bug d'msn m'exaspèrent au plus haut point, que mes paupières sont lourdes de l'agression des pixels cumulée pendant environ trois heures. Que dans mon esprit, une formulation du paradoxe -portant sur la volonté- présent dans la tragédie grecque n'est pas vraiment claire et ne s'y dessine d'ailleurs toujours pas. Que les maux de l'intellect sont peut-être moins pénibles au premier abord mais m'apparaissent plus douloureux que leurs homologues dits de têtes. Que dans ce genre d'insignifiances, voici la matérialisation du vide superficiel qui embaume ma plate vie.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire