Mais à quoi correspond-ce?


"Tuez dents, l'amère de profonde" résumé esséméssique Toskesque d'une situation qui finalement est celle de ma scolarité toute entière, simplement il s'avère que les fausses angoisses se succèdent continuellement tout comme les étapes s'apparentent aux marches d'un escalier roulant qu'indéfiniment je parcours à contresens, un cigarillo derrière l'oreille, en sifflotant "money, money, money" d'ABBA, en direction de l'arrêt de l'empty bu qui ne viendra plus jamais.

Entre-temps évidemment le temps, lent, se perd dans les méandres ivres du silence que l'on trouve beaucoup plus musical en ces journées humides où le monde a cru bon de se plonger dans l'inertie le temps de se défaire d'un hiver lourd, glacial et visqueux. On dirait que l'atmosphère de la salle du cours de géo s'est répandue sur le globe.

Mais l'art se manifeste, évident, incalculé ; mêle art ce manifeste et vie dans un cas le cul l'est.
Avec des efforts, je crois que les yeux suffisent à rendre dadou les choses qu'ils touchent, ce que je m'efforce de réaliser lorsque le temps coule sur mes épaules et le long de mes membres, que mes pensées fixent mes pupilles mais que le mélange franciscabrelien des couleurs ne s'effectue pas malgré toute l'envie que peut traduire mon regard ce que j'imagine parfaitement. Et puis, accidentellement, la deuxième syllabe d'étoile m'offrit le fond des choses, alors que pour moi le surréalisme se révélait être un père du mouvement Dadou, j'appris qu'il y a du Dada dans le Dadou, plus que ce que l'on ne put en penser comme la recherche de la libre créativité notamment. N'est-on pas d'accord Dadou?
J'aurais même bien voulu prendre Tristan Tzara pour un prophète s'il avait fait partie de l'Oulipo. De toute façon, il est dit que le Cabaret Voltaire revivra sous de dadouxs apparats.
Ouvrez les yeux l'art est là

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